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Monthléry:
La dernière course?
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Nous commençons
par arpenter les stands des vendeurs, en quête de...rien! Parmi la multitude de pièces d'occasion, quelques machines intéressantes sont à vendre; cela va des tandems motorisés à restaurer jusqu'à de magnifiques exemplaires des années 70 en état collection.
Quelques voitures anciennes avaient fait le déplacement pour supporter les motos.
Le bruit des moteurs, qui résonnent sur les paroies inclinées de l'anneau nous attire, tel le chant des sirènes, vers le paddock au milieu duquel, faute de retrouver les Porsche 917 et Ford GT 40 de notre enfance, nous apercevons quelques authentiques et magnifiques machines de course.
Villiers sur Marne est dignement représentée par 4 Honda qui ne feront pas de la figuration...
Mais il est temps, pour les pilotes, de se préparer et de rejoindre la pré-grille pour faire chauffer les moteurs.
Les motos sont réparties en plusieurs catégories (125 à 500, plus de 500, coupe Kawasaki, Grand Prix et sidecars ) et courent quatre fois durant le week-end. Les pilotes de Villiers sur Marne ne sont pas là pour se promener et si tous bataillent avec hargne le moindre virage et le moindre freinage, il faut tout particulièrement saluer François qui a complètement lâché le peloton, au prix d'une attaque qui a fait s'exclamer et frissonner les tribunes, avant d'abandonner sous les applaudissements respectueux des spectateurs (embrayage cassé): respect!
La
journée s'achève avec une course de sidecars très
disputée et, quand le dernier moteur s'arrête, on sent tomber
une chappe de plomb sur le circuit.
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